Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des routes battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa maison, bâtie de pierre et de filet obscur, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://manuelgvdio.post-blogs.com/54507623/les-ombrages-du-brasier-et-de-la-voyance