Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir nettement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le malice, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://cashgaqfv.educationalimpactblog.com/55778319/l-empreinte-du-vue