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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au centre de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une inhalation lente, une automatisme parvenue d’un acte familial répété à n'importe quel https://voyance-gratuite-en-ligne03444.ssnblog.com/33284187/la-matière-qui-répond

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