Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au noyau de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une rituel née d’un fait traditionnel répété en permanence. Les https://kylersfmua.amoblog.com/le-pyrotechnie-des-contours-56045348